« L’écologisme, nouveau totalitarisme ?  » de Drieu GODEFRIDI

Introduction

Sur les réseaux sociaux, l’écologie est surtout dénoncée comme une idéologie punitive, haïssant la société occidentale et voulant pourrir la vie quotidienne des gens : les écolos exigent que l’homme délaisse sa voiture, ait honte de voyager en avion, ne fasse plus d’enfant, ne mange plus de viande etc etc. Devant un tel extrémisme, les internautes s’énervent rapidement et une confusion s’installe très vite entre écologie, écologisme, fascisme, totalitarisme, communisme, nazisme… ce que certains résument sous le vocable d’escrologie (escroc + écologie).

Qu’en est-il vraiment ? Existe-t-il une écologie médiatique qui serait champêtre, joyeuse, pleine de vie et une écologie profonde, celle des partis politiques, trop choquante pour être exposée publiquement, tellement elle est violente ? Le livre de Drieu GODEFRIDI fait le point sur ce sujet très sensible et ses conclusions sont glaçantes ! C’est un véritable brûlot, un pamphlet au vitriol sur l’écologie politique, qui restera comme l’une des plus grandes mystifications des XXᵉ et XXIᵉ siècles !

Nom du livre : « L’écologisme, nouveau totalitarisme ? »
Auteur : Drieu GODEFRIDI
Editeur : texquis
Année de publication : 2019
Nb de pages : 175
Couleurs : non
Photos : non
Prix : 8€ (prix très doux)
Taille : 15 x 22,5cm

Couverture et table des matières

Communisme, haine de l’homme, surpopulation

En premier lieu, il est utile de rappeler que, même si les écologistes se positionnent dans le spectre politique à l’extrême-gauche, ils sont à l’opposé du modèle communiste. Ce dernier souhaitait l’abondance pour l’humanité et, même avec des millions de morts, ne voyait pas l’Homme comme la source de tous les maux.

Pages 18 et 19 (fusionnées) et 20

Les écologistes affirment que l’homme n’est qu’une créature parmi d’autres, sans aucun droit spécifique sur la Terre, les animaux et les plantes. Est-ce que cela signifie que les animaux et végétaux sont tout aussi extraordinaires et uniques que l’Homme dans l’arbre du vivant ou bien que l’Homme n’est finalement qu’un animal parmi des milliers d’autres espèces, stupide, peu évolué, du niveau d’un insecte ou d’un poisson et qu’il peut être traité comme tel ? Cela ne vous rappelle-t-il pas le discours des nazis sur les juifs et les tziganes, comparés à des rats, à des animaux nuisibles qu’il fallait éliminer ?

Page 22

Avec la bible écolo « La bombe P » de Paul Ehrlich de 1968, les idéologues verts reprennent à leur compte les théories eugénistes du IIIᵉ Reich en voulant réduire drastiquement le nombre d’hommes sur la planète : euthanasie imposée, stérilisation forcée, promotion de l’avortement, opérations illégales diminuant la fertilité, discours culpabilisant sur la maternité… Est-ce que les électeurs écolos ont seulement conscience de la folie des projets de leurs représentants ?

Pages 31 et 32

Cette haine de l’homme, complètement irrationnelle, serait qualifiée de « haine de soi » en psychiatrie ; la note de bas de page de la page 65, sur les déclassés de la classe moyenne, montre que les écolos radicaux ont bien intériorisé que leur vie ne sera jamais celle qu’ils rêvaient, qu’ils sont des ratés à leurs propres yeux, et, pour se venger de cette blessure narcissique, ils se vengeront sur la société.

Pour être audibles et non pas révoltantes, leurs idées doivent se revêtir d’un vernis pseudo-scientifique. C’est là qu’intervient le fameux taux de CO2 émis, le dioxyde de carbone, qui serait responsable de tous les malheurs de la Terre. Avec cette pseudo-caution chimique et biologique, les écolos tentent d’imposer un discours scientifique, donc indiscutable, aux médias.

Pages 51, 65, 72

L’Europe et l’entrisme écolo

Comme le souligne fort bien Drieu GODEFRIDI, le programme écologiste, fait de précarité et de minimalisme imposés à tous, ne fait absolument pas rêver. D’où vient alors sa sur-représentation dans les médias et sa diffusion dans l’opinion publique ?

C’est simple, ils utilisent une technique très efficace de l’extrême-gauche trotskiste, l’entrisme. Il suffit de noyauter une commission avec quelques membres et celle-ci fera caisse de résonance à leurs idées détestables ; il suffit de voir comment Paris et les villes gérées par les écologistes et leurs alliés sont rapidement devenues sales et dangereuses : ils vendent du rêve, ils accouchent d’un cauchemar.

Pages 85, 86, 87

Euthanasie pour tous, enfants compris

Le vrai projet des écologistes, c’est de tuer une partie de l’humanité, de façon plus ou moins consentie ! Leur mantra est qu’il y a trop de monde sur terre, que les hommes exploitent Gaïa la Terre Mère, qu’ils pillent ses ressources, la salissent, la souillent et qu’il faut diviser par dix leur nombre pour atteindre un meilleur équilibre. En résumé, pour les écolos, l’Humanité est une maladie à éradiquer !

Pages 131, 132, 133

Le CO2, caution scientifique du génocide

Revenons sur le CO2, l’arme atomique des discours écolos. Dans les extraits suivants, glaçants pour toute personne saine d’esprit, le projet écologiste de génocide s’étale sans fard. Ces fanatiques s’en prennent même aux enfants, ramenés à de simples organismes excréteurs de CO2 qu’il faut éliminer.

Pages 139, 140, 141, 144, 145, 147, 148

Conclusion

Je conseille très fortement à toute personne de lire l’ouvrage de Drieu GODEFRIDI, implacable dans sa dénonciation du totalitarisme écologiste. Il explique clairement l’horreur du projet écologique, soigneusement caché aux électeurs par les partis politiques verts : celui d’un crime contre l’Humanité de plusieurs centaines de millions de personnes, voir plus. Si les écolos sont surnommés les Khmers verts, ce n’est pas un hasard, le génocide des Khmers rouges de Pol Pot ayant éradiqué entre 20 et 50% de la population du Cambodge.

Loin des idées naïves, mais humanistes des hippies, célébrant l’amour de la Terre, des hommes, des fleurs, ce livre, clair, très bien écrit, avec beaucoup de sources inconnues du grand public, dévoile crûment la haine de l’Homme qui est au cœur de l’écologie politique et punitive.

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